Caresser ta peau, blanche sente. Tes seins et tes hanches. Captivante avalanche. De feintes et de pentes. Puis, patiemment, passer mes mains fauves sur, cambrés appâts, le galbe bas de ton dos. Alcôve beau. Et, enfin, paresse d’airain, sentir la descente, débauche haletante de tes reins. Toucher souverain au bout de mes doux doigts. Clitoris et vagin presque là. Rois. Comme une coquine ivresse en surplomb. Amont fou de tes fentes démentes. Troubles fesses. Stries félines et si longs sillons. Lella l’enchanteresse.
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